À la personne

Lord Mayor Pütsch

Liberté de la presse - pas à Rastatt

Recours à la force contre des représentants de la presse

La réunion publique du conseil municipal du 18 juin 2020 à 17h30 sera une débâcle pour le maire Pütsch. Il exclut personnellement le public, en particulier les représentants de la presse de notre société, en faisant verrouiller les portes d'accès au hall de Baden par des policiers.

Raison: inconnue "Ce serait le cas"

À 19 h 40, usage massif de la force par la police contre Hoffmann & Overhoff alors que les deux interviewaient à environ 20 mètres l'un de l'autre sur le parvis. mener. Il n'y a pas d'agression ni de raison pour l'attaque. Un policier attaque de manière inattendue le journaliste et le caméraman par derrière et le met finalement dans une prise de tête, après avoir tenté de lui arracher la caméra, ce qui échoue - tout est enregistré par le son, et finalement l'officier arrache les piles.

Overhoff veut s'accrocher à cela et est jeté au sol, couché sur le dos, la tête appuyée sur le trottoir et une main tordue.

Maintenant, les fonctionnaires affirment que l'agression de M. Overhoff n'a jamais eu lieu. Le premier officier s'est déjà retiré et ne veut plus confirmer le mensonge.

Des témoins se sont également manifestés qui ont observé cette attaque monstrueuse depuis une embuscade.

Hoffmann doit aller à l'hôpital. La police refuse de l'aider - après avoir été enregistré par le microphone, il appelle finalement l'ambulance.

Conséquences pour M. Hoffmann ici:

Certificat de la clinique Rastatt

Conséquences pour M. Overhoff:

entorse à la main, ecchymoses

Déclaration vidéo ici:

Bref résumé

Vous pouvez voir le scénario ici (en bref):

L'exclusion du public et la censure de la presse

En détail:

Auparavant, le rédacteur de renommée mondiale Klaus Overhoff (Vienne) et le citoyen et journaliste de Rastatt Volker Hoffmann ont pris place dans la salle. Pas d'échange de mots, pas d'agression des deux, puis un discours brusque et inamical du maire au micro, les deux messieurs peuvent quitter la salle, le tournage est interdit. Cependant, aucun enregistrement de film n'a été réalisé. MM. Hoffmann et Overhoff, que le maire connaît comme étant des journalistes professionnels très réputés , leur ont accordé de nombreuses interviews ces dernières années.

Aujourd'hui, le 18 juin 2020, il la fait expulser de la Badener Halle sans raison légale et nie le droit fondamental à la participation du public selon le § 41b GO BW et en même temps un grave mépris du droit de la presse.

Le maire Pütsch a profité de l'intérêt d'assister à la réunion publique du conseil municipal du 18 juin 2020 à 17h30 pour faire retirer M. Overhoff et Hoffmann de la salle par les agents des forces de l'ordre municipales à tous égards sans raison.

• M. Sven Severing, téléphone 07222 972-7310, service d'application de la loi communautaire

• Cora Malina, téléphone 07222972-7321 Police municipale

• et deux de plus

pour les expulser et les exposer.

Le maire Pütsch a d'abord demandé à MM. Overhoff et Hoffmann d'apporter la caméra dans une pièce voisine du Baden Hall (demande illégale) et utilise le transfert venant en sens inverse pour bloquer l'accès à la salle de réunion via Sven Severing et trois autres policiers de la ville après leur retour à aligner:

Il y aurait désormais une interdiction de résidence!

Interrogé sur les raisons, réponse méprisante de trois agents de police de la salle que l'on pouvait poursuivre. Lorsqu'on insiste pour qu'un ordre écrit soit rendu et remis, qui devrait également être débattu publiquement au préalable, M. Overhoff insiste sur le droit de participer à la réunion publique du conseil municipal, il est finalement manoeuvré hors du bâtiment avec des moyens physiques. Obliger.

La police de Rastatt était également bien informée, car elle savait immédiatement, sans aucune demande de dénonciation, que le maire ferait usage de son droit de domicile, on ne pouvait rien y faire.

M. Pütsch devra maintenant expliquer publiquement la raison de la violation de la loi.

Le cas scandaleux d'Uta Böllinger (voir WikiBöll) est peut-être la raison pour exclure arbitrairement le public et la presse, car OB Pütsch est de mauvaise foi à travers nos résultats de recherche, et il élude des questions potentiellement critiques en violant la loi et l'ordre de violence, qu'il commente textuellement après la mise en œuvre comme suit: «C'est bien».